Enfin dans l'avion, un bel airbus tout neuf, un écran personnel avec un large choix de films, documents et dessins animés pour Erwan. Comme prévu, son repas est servi en premier, ce qui nous permet de déguster notre barquette tranquille pendant la digestion d'Erwan absorbé par l'âge de glace II.
La nuit est correcte, on nous réveille à 3h du matin pour le petit-déjeuner ! C'est-à-dire qu'il est 7h en heure local. Je n'ai pas très faim.....
Nous atterrissons à 8h30, nous avons les yeux rivés sur le hublot à la recherche d'une éventuelle forêts de gratte-ciels. Rien.
Nous sortons, au bout du couloir une hôtesse porte une pancarte avec inscrit : "Bagage claim 9". Elle me dit quelque-chose en anglais, je ne comprends rien et réponds : "no, thank you". Nous faisons quelques mètres, je cherche un éventuel tapis roulant pour récupérer nos bagages, mais rien à l'horizon. Je retourne voir l'hôtesse et lui demande en franglais ou sont nos bagages. Sa réponse : "After immigration." Je suis, et je me sens vraiment stupide. On dirait que c'est la première fois que je prends un vol international !
Nous continuons et sommes éblouis par le gigantisme de l'aéroport. C'est beau, c'est propore, mais surtout c'est immense.
Aux formalités de police, c'est une formalité, même pas de queue. Et là nous découvrons des dizaines de tapis roulants avec des centaines de valises. Et, ô surprise, au-dessus de chacun d'eux il y un numéro. Et devinez quoi, nos valises sont sur le tapis roulant numéro 9 !!!
Nous flânons dans l'aéroport, nous avons tout notre temps, notre chambre peut n'être libre qu'à partir de 14h. Et puis nous sommes tellement avides de ces images qui s'inscrivent dans nos têtes. Nous sommes béats.
Nous cherchons à acheter la fameuse carte octopus qui permet de prendre tous les transports sans se soucier de la monnaie. Nous changeons de l'argent et l'agent me propose un billet pour l'airport express. Le train ultra rapide qui relie la ville en moins de 25 minutes. Il doit lire dans mes pensées....
Nous trouvons sans souci, tout est très bien indiqué. Je rate le premier train, je n'avais même pas remarqué sa présence à cause des doubles portes : celles du train et celles de la station. La voie est protégé par une paroi vitrée : suicide impossible ! J'ai bien préparé le voyage et je sais que nous devons descendre à Kowloon station. Impossible de rater une station des panneaux dans les rames indiquent en temps réel l'avancement du train. Nous sortons à Kowloon station et hésitons : taxi ou marche à pied ? Nous sommes tout près de notre hôtel, mais combien exactement ? A la première sortie il y a 20 mètres de trottoir, puis des barrières et la route. Impossible de marcher, problème résolu. Nous faisons demi-tour, reprenons deux tapis roulants qui ravissent encore et toujours Erwan et sautons dans un taxi. A la sortie des sous-sols c'est l'émerveillement : des tours partout, on se croirait à New York. Enfin ce que j'en imagine, je n'y ai jamias mis les pieds.
Je m'occupe des formalités à la réception de lhôtel et mesure à nouveau mon niveau lamentable en anglais. Qu'ai-je donc foutu à l'école ? Nous nous installons dans la chambre 1302, nous sommes au 13ème étage avec une vue dégagée : WAOUH !!!!
Il est 11h en heure local, 7h encore pour nous. Malgré l'envie de sortir en prendre plein les yeux, le sommeil remporte la bataille et nous dormons quelques heures. Nous sommes en plein jet lag.
Des photos ? Ben justement, je n'ai pas d'appareil et c'est le premier achat prévu en sortant.
Bonne nuit
PPHHIILLL
La nuit est correcte, on nous réveille à 3h du matin pour le petit-déjeuner ! C'est-à-dire qu'il est 7h en heure local. Je n'ai pas très faim.....
Nous atterrissons à 8h30, nous avons les yeux rivés sur le hublot à la recherche d'une éventuelle forêts de gratte-ciels. Rien.
Nous sortons, au bout du couloir une hôtesse porte une pancarte avec inscrit : "Bagage claim 9". Elle me dit quelque-chose en anglais, je ne comprends rien et réponds : "no, thank you". Nous faisons quelques mètres, je cherche un éventuel tapis roulant pour récupérer nos bagages, mais rien à l'horizon. Je retourne voir l'hôtesse et lui demande en franglais ou sont nos bagages. Sa réponse : "After immigration." Je suis, et je me sens vraiment stupide. On dirait que c'est la première fois que je prends un vol international !
Nous continuons et sommes éblouis par le gigantisme de l'aéroport. C'est beau, c'est propore, mais surtout c'est immense.
Aux formalités de police, c'est une formalité, même pas de queue. Et là nous découvrons des dizaines de tapis roulants avec des centaines de valises. Et, ô surprise, au-dessus de chacun d'eux il y un numéro. Et devinez quoi, nos valises sont sur le tapis roulant numéro 9 !!!
Nous flânons dans l'aéroport, nous avons tout notre temps, notre chambre peut n'être libre qu'à partir de 14h. Et puis nous sommes tellement avides de ces images qui s'inscrivent dans nos têtes. Nous sommes béats.
Nous cherchons à acheter la fameuse carte octopus qui permet de prendre tous les transports sans se soucier de la monnaie. Nous changeons de l'argent et l'agent me propose un billet pour l'airport express. Le train ultra rapide qui relie la ville en moins de 25 minutes. Il doit lire dans mes pensées....
Nous trouvons sans souci, tout est très bien indiqué. Je rate le premier train, je n'avais même pas remarqué sa présence à cause des doubles portes : celles du train et celles de la station. La voie est protégé par une paroi vitrée : suicide impossible ! J'ai bien préparé le voyage et je sais que nous devons descendre à Kowloon station. Impossible de rater une station des panneaux dans les rames indiquent en temps réel l'avancement du train. Nous sortons à Kowloon station et hésitons : taxi ou marche à pied ? Nous sommes tout près de notre hôtel, mais combien exactement ? A la première sortie il y a 20 mètres de trottoir, puis des barrières et la route. Impossible de marcher, problème résolu. Nous faisons demi-tour, reprenons deux tapis roulants qui ravissent encore et toujours Erwan et sautons dans un taxi. A la sortie des sous-sols c'est l'émerveillement : des tours partout, on se croirait à New York. Enfin ce que j'en imagine, je n'y ai jamias mis les pieds.
Je m'occupe des formalités à la réception de lhôtel et mesure à nouveau mon niveau lamentable en anglais. Qu'ai-je donc foutu à l'école ? Nous nous installons dans la chambre 1302, nous sommes au 13ème étage avec une vue dégagée : WAOUH !!!!
Il est 11h en heure local, 7h encore pour nous. Malgré l'envie de sortir en prendre plein les yeux, le sommeil remporte la bataille et nous dormons quelques heures. Nous sommes en plein jet lag.
Des photos ? Ben justement, je n'ai pas d'appareil et c'est le premier achat prévu en sortant.
Bonne nuit
PPHHIILLL