Avec Cyrille, on ne chôme pas pendant les vacances. Il faut rentabiliser le temps, et ne pas perdre une minute. Le rendez-vous est pris avec notre taxi-guide, Martin, à 8h00 devant l'hôtel, direction Mahamasina, entrée Est de la réserve de l'Ankarana.
Nous partons presqu'à l'heure, et roulons sur la RN6 en direction d'Ambilobe :
Nous partons presqu'à l'heure, et roulons sur la RN6 en direction d'Ambilobe :
Première pose, la 4L nécessite quelques soins pour ce long parcours de plusieurs dizaines de kilomètres :
Nous avons tout de même parcouru 67 km d'une traite :
Nous avons tout de même parcouru 67 km d'une traite :
Moins d'une heure après nous arrivons à bon port et commençons la visite de la réserve de l'Ankarana qui s'étend sur 108 000 Ha. Le programme du jour : la grotte aux chauves souris et le point de vue sur les petits tsingy :
Le programme est modeste, tout a fait adapté à la récupération de la soirée de la veille.
Nous marchons sur un sentier, à l'ombre des arbres d'une forêt tropicale sèche. Il nous faut peu de temps pour rencontrer les premiers makis. Madagascar compte 11 espèces (à vérifier) de lémuriens, toute endémique de l'île. Ces makis sont toujours aussi curieux et surprenants :
Nous marchons sur un sentier, à l'ombre des arbres d'une forêt tropicale sèche. Il nous faut peu de temps pour rencontrer les premiers makis. Madagascar compte 11 espèces (à vérifier) de lémuriens, toute endémique de l'île. Ces makis sont toujours aussi curieux et surprenants :
En une bonne demi-heure nous accédons à la grotte aux chauves souris. Il y en a des milliers accrochés aux plafonds des immenses galeries. Il y a une forte odeur de guano et nos lampes déclenchent des nuées de cris stridents. Pas de photos, car les flashs sont inopérents au-delà de quelques mètres.
A défaut de chauves-souris, voilà une belle mygale de la taille de ma main :
Nous ressortons et apprécions l'entrée béante de la grotte :
Nous retournons sur le village de Mahamasina. Nous prenons une douche (froide, enfin, tiède), et nous passons à table.
Nous regagnons nos pénates. Ce n'est pas vraiment un 4 étoiles :
A défaut de chauves-souris, voilà une belle mygale de la taille de ma main :
Ces charmantes bestioles sont totalement inoffensives. Cela me rassure presque !
Nous enchaînons de très vastes galeries, reliées par des passages parfois un peu exigus. J'espère seulement ne pas mettre la main sur une mygale.
Nous enchaînons de très vastes galeries, reliées par des passages parfois un peu exigus. J'espère seulement ne pas mettre la main sur une mygale.
Nous ressortons et apprécions l'entrée béante de la grotte :
Nous remontons les 163 marches (dixit le guide) et prenons la direction des tsingy. La progression sur les tsingy est très difficile.
Laurence prend la pose à côté d'un adenia, genre de liane qui fait ses réserves d'eau à la base de sa tige déformée, ressemblant ainsi à un pied d'éléphant :
Les Tsingy sont des formations calcaires de plusieurs dizaines de mètres d’épaisseur datant du jurassique (-200 millions d'années) et sont érodées en lames de couteau (tsingy en Malgache).
La pure photo touristique :Laurence prend la pose à côté d'un adenia, genre de liane qui fait ses réserves d'eau à la base de sa tige déformée, ressemblant ainsi à un pied d'éléphant :
Nous regagnons nos pénates. Ce n'est pas vraiment un 4 étoiles :
Nous apprécions ces cases en falafy, construction traditionnelle malgache. Nous sommes heureux d'avoir une moustiquaire, mais pas pour les moustiques, pour les mygales....
Cyrille et moi passons notre première nuit ensemble...
PPPHHIILLL, vacancier à temps partiel