Quelle bonheur de poser enfin le pied sur le tarmac de l'aéroport de Diégo. Cela faisait un an que je n'étais pas allé à Madagascar, une éternité.... Le varatraza souffle fort, le soleil plombe, et malgré le vent il fait chaud.
Le lendemain de notre arrivée, nous allons à la baie de Sakalava. La piste est toujours aussi défoncée. Nous sommes à moins de 20 km du centre de Diégo mais il faut bien 45 minutes avec le 4x4 vitara de Denis pour atteindre notre destination.
La petite association de Denis gère une école de voile gratuite pour les locaux. La mijono school (mijono = campement) est en falafy, comme toutes les constructions du village :
Le lendemain de notre arrivée, nous allons à la baie de Sakalava. La piste est toujours aussi défoncée. Nous sommes à moins de 20 km du centre de Diégo mais il faut bien 45 minutes avec le 4x4 vitara de Denis pour atteindre notre destination.
La petite association de Denis gère une école de voile gratuite pour les locaux. La mijono school (mijono = campement) est en falafy, comme toutes les constructions du village :
J'ai ramené mes vieilles voiles pour l'école : une combat wave de 1993 et une simmer de 1991 !Dans ces conditions, Cyrille n'a pas d'autres choix que de se mettre à l'eau :
Il réussit à tirer quelques bords, même s'il y aurait beaucoup à dire sur son style. La dernière fois que je l'ai vu faire de la planche, c'était à Piantarella en Corse en 1991. Je pense qu'il ne m'en voudra pas si je dis que sa marge de progression est abyssale !
Après l'effort, le réconfort : pique nique dans le village de pêcheur. Une mention spéciale pour le calamar grillé qui était divin :
Avec une vue sur la baie qui fait vite oublier tous les soucis :
Ne vous trompez pas, malgré l'aspect tranquille de la mer, le varatraza est très violent. Il dépasse les 30 noeuds, et je me suis bien fait secouer avec ma petite aile de kite de 7 mètres carrés.
PPPHHIILLL
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