mardi 26 janvier 2010

Mer d'Emeraude


J'ai gardé le meilleur pour la fin : la mer d'Emeraude. Endroit unique et d'une beauté toujours aussi incoryable.

Le matin, au départ du village de Ramena :



Et c'est parti, en pirogue à voile
:


Nous sommes en retard, la marée est trop basse. Nous devons passer à pied pour récupérer un autre bateau dans la mer d'Emeraudec :



La mer d'Emeraude se dévoile enfin, beauté irréelle ! :





Et noue réembarquons sur la mer d'Emeraude direction l'ilot Suarez :






L'ilot Suarez en vue :



Toujours aussi époustouflant :



Cette position me rappelle quelques souvenirs : un mal de dos persistant ! Je venais de découvrir les sauts en kite. Je ne maîtrisais pas encore les réceptions ! :



Retour au coucher du soleil :





Une journée inoubliable : première fois que je fais la mer d'Emeraude sans vent : pas d'embruns, chaleur...que du bonheur.


PPPHHIILL

lundi 25 janvier 2010

Ramena


Grace aux photos de Bruno, je peux cpntinuer à vous présenter Diégo et sa baie. Ici, nous sommes au village de Ramena bordé par une longue plage de sable blanc :




Si la plage est jolie, l'eau est pas mal non plus :



Au bout de la plage, l'ancien fort des forces coloniales :



Et le phare qui indique l'entrée très étroite de la baie. Au-delà, c'est l'océan indien :




A Ramena, il y a beaucoup de pirogues "à la bretonne". Les plans ramenés par les français il y a deux siécles sont toujours utilisés pour toute construction navale :




Là, les plans sont locaux :



Les rencontres au coucher de soleil ? :


Les baies


La baie de Diégo ne peut pas laisser indifférent. Elle est immense, c'est la deuxième plus grande baie du monde après celle de Rio avec 156 km de côtes. Mais surtout, elle est magnifique.

Le Pain de Sucre :


Notre terrain de jeux favori, la baie de Sakalava :





Tout au bout de la baie de Sakalava, nous redécouvrons la baie des Pigeons :


Et son sable fin et blanc :



Au retour en ville, le coucher de soleil sur la baie de Diégo et son fameux Pain de Sucre :

Diégo ville


Diégo, la plus française des villes malgaches. Il y a beaucouyp de métis, la présence de la Marine et de la légion française jusqu'en 1976 y est sans doute pour quelque chose.

J'ai passé dix jours avec Bruno à Diégo en octobre 2009. Ancien photographe professionnel, reconverti dans l'enseignement de la philosophie, j'ai reçu ses photos et vous les fait partager.












La place de la ville :


L'hôtel de la Marine, très beau bâtiment à l'abandon, qui a connu sous la colonisation, son heure de gloire :




Le tribunal :



La rue Colbert, l'artère principale avec ses commerces, son alliance et son casino :








La poste :