Baie de Sakalava

La baie de Sakalava, c'est ma base, mon spot, mon paradis....sans elle, je n'irais sans doute pas à Diégo.

Je suis un habitué de la gargotte tenue par Francine :


D'abord l'apéro :


Rien que pour la vue, la gargotte vaut le détour. Pour les repas, c'est pas mal non plus :

Pour Erwan, c'est langouste tous les jours. Le menu : salade de tomates, langoustes, un fruit pour 15 000 ariary (environ 5,50 €) ! Alors on se gêne pas.

Ici, comme partout à Madagascar, rien ne se perd. Et les vieilles voiles de planches à voiles garnissent les toits des cases en falafy :

Le garde manger :




Le chasseur cueilleur :


Quelques points de vue de la baie, je ne m'en lasse pas :




Piaf shooté devant la gargotte :

Fin d'après-midi, il est temps de partir sur le village de Ramena sur la baie de Diégo pour profiter du couché de soleil :

Comment dire ? A Diégo, il ne se passe rien. Notre vie est rythmée par les repas. Nos soucis sont le choix des restos. La vie est douce et paisible. On se laisse vivre....

Retour en mars 2012 seulement. On laisse passer l'été torride et humide.


PPHHIILL, Diégolais.

Crocodiles

L'admiration d'Erwan pour les crocodiles ne s’émousse pas. Alors on va lui montrer :

Nous avons tous été impressionnés par le grondement rauque. Complètement inaudible sur la vidéo hélas.

Pour ceux qui connaissent, c'est la voix de Martin qu'on entend, notre taxi man depuis des années.

PPHHIILL

Départ de Tana et après-midi à Diégo

Après une nuit à Tana, nous redécollons pour notre destination finale : Diégo Suarez.

Erwan en salle d’embarquement avec ses dinosaures :

Peu après notre arrivée, nous découvrons un hôtel sympa dans lequel nous passons l'après-midi :

La vue sur le pain de Sucre :


Après le repas, nous profitons de la piscine :








Lézard local :


Avant le retour en ville, un tour en bull :






PPHHIILL